comment porter plainte contre un perver narcissique
Sion est malin, si on sait contrôler ses propres émotions et qu’on a de la ressource, on peut « gagner » face à un pervers narcissique. J’en suis la preuve vivante. Mais il faut en premier lieu oublier toute notion de « victime ».
Lepervers narcissique aime à se faire plaindre, mais il déteste qu’on lui dise ce qu’il doit faire. Au mieux, il vous snobera, au pire, il s’en servira contre vous comme argument pour expliquer ses abus. Encore faut-il qu’il admette qu’il fait du mal. Admettre, c’est accepter d’être une mauvaise personne. Vouloir sauver une personnalité narcissique c’est lui faire admettre
Lemode de fonctionnement effrayant des pervers narcissiques. Publié le 26 mai 2018 par Cosima. Je te partage ici un extrait de mon livre « Plus d’Amour » dans lequel je prends conscience de la dysfonctionnalité de ma belle-famille suite à la lecture du livre « Pervers Narcissiques » de Jean-Charles Bouchoux.
Froids calculateurs, mais d’apparence très joviale et courtoise, les pervers narcissiques sont de plus en plus présents dans l’environnement professionnel de tout un chacun. Apprenez à les
Lepervers narcissique structurel à un profil tout à fait particulier. Il peut être un homme ou une femme. Il a une construction ou plus exactement une non-construction qui le rend dangereux, toxique. Sa vision du monde est
nonton film the doll 2 indonesia full movie lk21. "Des années se sont écoulées avant que je me décide à quitter Nathalie*, raconte Bruno*, la voix tenaillée par l'émotion. Six ans, exactement. J'étais sous emprise mais, à l'époque, je ne m'en rendais pas compte. J'ai fini par divorcer, en 2010. Aujourd'hui, j'ai 56 ans, je me suis reconstruit. Pourtant, évoquer cette histoire reste très douloureux pour moi. C'est ma femme actuelle qui m'a poussé à témoigner. Au départ, je n'étais pas très chaud pour revenir sur cette période de ma vie. Pourquoi je m'y suis résolu, alors? Parce que les médias parlent toujours de femmes victimes de leurs maris pervers narcissiques, jamais de l'inverse. Or les femmes aussi peuvent être perverses, je suis bien placé pour le savoir. Les dégâts sont aussi importants mais personne ne s'en aperçoit, car les hommes qui subissent une manipulatrice ont tendance à minimiser leur souffrance. Ils craignent de passer pour faibles. >>> A lire aussi Comment reconnaître un pervers narcissique? Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Avec le recul, je comprends que j'ai été, pour Nathalie, une proie facile. Je sortais d'un premier divorce compliqué, je ne parvenais plus à voir mes deux enfants, je me sentais très seul. Je rêvais de recréer la famille que je venais de perdre. Je suis kiné, Nathalie aussi, nous nous sommes croisés dans le cadre du travail puis inscrits dans le même club de danse de salon. On y dansait le rock, la salsa, on participait ensemble à des stages. Une grande attirance au départDès le départ, il y a eu une grande attirance entre nous, une relation passionnelle. Au sein du club, Nathalie se montrait très vivante, enthousiaste, elle riait beaucoup, elle attirait les autres. Elle avait déjà un enfant, elle en voulait un autre. Elle cherchait un compagnon carré, la stabilité. J'étais plus âgé qu'elle -nous avons neuf ans d'écart- et je représentais la sécurité, avec de bons revenus. Nous nous sommes mariés deux ans plus tard, en 2000. Notre fils est né l'année suivante. A l'extérieur, Nathalie continuait à se montrer charmante. A la maison, elle s'est rapidement transformée en harpie. J'avais droit aux pires grossièretés, mais toujours en privé. 'T'as peur de perdre tes couilles, c'est ça?' me disait-elle. Elle m'attaquait sur ma virilité, sur mon physique, en particulier sur mon poids. Quels que soient mes efforts, je n'étais jamais assez svelte. Le moindre défaut lui servait de prétexte pour me rabaisser. A cause d'un accident de voiture, j'ai une jambe légèrement plus longue que l'autre. Elle ne manquait pas de le souligner dès que l'occasion se présentait. Regarde comme tu boîtes, qu'est ce que tu danses mal, disait-elle. Et ça m'atteignait, bien sûr. D'accusateur, je suis devenu l'accuséPuis elle a multiplié les aventures. Et j'ai entamé ma descente aux enfers. Je suis tombé, un jour, sur des courriers envoyés par un autre homme. Leur contenu était chaud. J'ai demandé des explications à Nathalie. Elle a commencé par me dire que je me faisais des idées, qu'elle n'avait pas de liaison. Mais comme je n'étais pas dupe, elle a changé de tactique et d'accusateur, je suis devenu l'accusé. 'De quoi tu te mêles', a-t-elle crié, 'qui t'a permis de lire mon courrier?' J'étais un ignoble inquisiteur, tandis qu'elle n'avait rien à se reprocher. Elle a poursuivi sa relation avec cet homme, ne m'épargnant aucun détail, en particulier les plus croustillants. C'était la pire des humiliations. Je l'acceptais, parce que j'avais peur, alors, de perdre Nathalie. Elle utilisait aussi l'arme fatale des pervers narcissiques, l'injonction contradictoire. 'Si tu veux rester avec moi', avait-elle déclaré, 'il faut que tu acceptes que j'aie des amants et que je sorte sans toi'. Et aussitôt après, elle avait ajouté 'Mais si tu tolères une situation pareille, alors tu n'as aucune dignité, tu n'es pas un homme'... Quoi que je fasse, j'étais piégé. Si je refusais qu'elle mène une double vie, elle allait me quitter. Et si je l'acceptais, elle allait me mépriser, à ses yeux je serais un moins que rien. Ca a manqué me rendre fou. Nathalie s'organisait pour ne pas travailler beaucoup et dépensait énormément, d'une façon compulsive. Pour les vacances, la France n'était pas une destination acceptable, il fallait partir à l'étranger. Nous avions déjà une maison, il lui en a fallu une deuxième. Même chose pour le cabinet. Chaque fois, je devais me porter caution pour ses investissements personnels. Elle pratiquait l'équitation, nous avons eu jusqu'à trois chevaux en pension, deux dans des haras, un en compétition. Nous nous retrouvions fréquemment avec des découverts sur le compte commun, tandis que mon compte personnel passait dans le rouge. Un ami m'a ouvert les yeuxMes amis ne l'intéressaient pas, ma famille non plus. Elle me reprochait de passer trop de temps avec mes soeurs. Il fallait rester uniquement avec sa bande de copains, celle du club de danse. Heureusement, j'ai réussi à garder quelques bons amis, dont Philippe*. J'étais son témoin de mariage, nous avons le même goût pour les textes de philosophie, la même sensibilité. C'est Philippe qui m'a ouvert les yeux. Je n'ai pas oublié l'expression qu'il a utilisée -vous pouvez deviner qu'il travaille dans l'informatique 'Tu ne peux pas toujours te 'reprogrammer' en fonction de Nathalie', m'a-t-il dit. 'Tu dois tenir compte de tes propres besoins, de tes désirs'. Il m'a fait remarquer qu'à chaque crise, je m'attribuais tous les torts. Philippe avait raison, je me remettais toujours en cause sans jamais la critiquer, elle. 'Tu ne peux pas chaque fois être le fautif', m'a-t-il dit. C'était une remarque de bon sens, n'est ce pas? Et bien jusque là, ça ne m'avait pas frappé. Durant cette période, j'ai pris des médicaments homéopathiques que je connaissais bien, car je m'intéresse de longue date aux médecines alternatives -j'exerce aussi comme ostéopathe. Et puis des anxiolytiques, car je n'arrivais plus à dormir et j'avais peur de perdre pied. Ensuite, j'ai consulté un psychologue. Je voulais comprendre pourquoi je me sentais toujours coupable en cas de conflit avec Nathalie. J'ai eu recours à la Gestalt thérapie, basée sur l'expression des émotions. Plus tard, j'ai entamé une analyse avec un psychanalyste, que j'ai arrêtée et reprise plusieurs fois. Tout, plutôt qu'une séparation. Je résistais, je voulais tenir, pour protéger mon fils. Je redoutais de perdre sa garde en cas de rupture. Cette idée m'était insupportable. Je me devais d'être là pour lui et d'ailleurs, je n'ai jamais eu la tentation du suicide. Une maladie de peau pendant trois ansMon corps, par contre, a lâché. J'ai eu des problèmes de genou et de chevilles à répétition. J'étais épuisé, avec tous les symptômes du burn-out. J'ai même développé une sorte d'eczéma géant, un psoriasis, ça me démangeait des pieds à la tête, j'avais les mains en sang. J'ai traîné cette maladie de peau pendant trois ans. Les plaques ont disparu quand j'ai échappé à Nathalie et renoué, enfin, avec moi-même. Mais n'anticipons pas. Au bout de cinq ans de mariage, j'ai pris la décision de ne plus l'accompagner ni au club de danse, ni en boîte de nuit. Je ne souhaitais plus être témoin de ses incartades. Je voulais me respecter. Alors je restais à la maison, avec sa fille et notre fils, pendant qu'elle sortait. En fait, elle rejoignait un homme qu'elle avait rencontré un an plus tôt, dans un stage de formation en psychologie. Au fil des mois, j'ai fini par comprendre que cette histoire était plus sérieuse que ses aventures précédentes. Alors j'ai posé un ultimatum tu m'as trompé, je passe l'éponge, maintenant tu ne revois plus ce garçon. Le résultat? Elle a fait la java de plus belle, pour me montrer qu'elle n'avait aucun compte à me rendre. Elle n'a pas non plus rompu. J'en ai eu la preuve un soir où je bouquinais dans le salon. Il était tard, j'étais insomniaque à ce moment là, l'iPhone de Nathalie était resté là, à portée de main. Un texto s'est affiché sur l'écran, il venait de cet homme, je l'ai lu. Le doute n'était plus permis. Le lendemain, je lui ai dit c'est terminé, on se sépare. Elle m'a frappéElle n'a pas essayé de me retenir, j'étais déjà remplacé. Dans ma grande naïveté, j'étais loin d'imaginer qu'elle avait carrément anticipé la rupture et planifié sa stratégie en secret, depuis des mois, pour obtenir un divorce à son avantage... Jugez un peu. Un jour, j'ai insisté pour que Nathalie participe aux frais de la maison tant que le divorce n'était pas prononcé. Elle a refusé. Le ton est monté, elle s'est mise à vociférer et j'ai vociféré à mon tour. Mon psychologue m'avait prévenu, la violence allait encore monter d'un cran, dès lors que la séparation était enclenchée. Ce déchaînement est propre aux pervers narcissiques. Pour la première fois, elle m'a frappé. J'ai reçu un coup de poing dans le dos, si fort qu'il m'a déplacé les côtes. Là, je suis sorti de mes gonds. Je n'étais plus moi-même. Je n'aime pas les cris, je n'ai jamais brutalisé ma première épouse, ni ma femme actuelle. Pourtant, en ce jour de 2007, j'ai attrapé Nathalie par les mains, j'ai ouvert la porte de la maison et je l'ai mis dehors, de force. Elle est allée porter plainte contre moi au commissariat pour coups et blessures. Puis elle s'est rendue à l'hôpital pour qu'un médecin constate ses ecchymoses au bras et à la fesse. Pendant ce temps, le commissariat m'a téléphoné pour me demander des explications. Et j'ai appris, de la bouche du policier, que Nathalie avait déjà rédigé plusieurs mains courantes pour des violences physiques et psychologiques. La plus ancienne remontait à huit mois. J'étais abasourdi. J'ai expliqué que ses accusations étaient mensongères, alors le policier m'a répondu que c'était à moi de prouver que je ne l'avais pas frappée. Les pervers narcissiques excellent à inverser les rôles et à se faire passer pour les victimes, notamment devant la justice. Au tribunal, dans la grande ville de province où j'habite toujours, la juge chargée de statuer sur notre divorce s'est laissé piéger par les apparences. Nathalie gardait son calme, tandis que j'étais anxieux, nerveux. La magistrate m'a pris pour le violent de l'histoire. Vers la fin de la procédure, pourtant, elle a compris son erreur. Elle a révisé à la baisse la pension alimentaire de 400 euros qu'elle avait accordée à Nathalie pour l'enfant. De 10 euros seulement, un montant purement symbolique. C'était sa façon de montrer qu'elle voyait désormais clair dans son jeu. J'ai échappé, de peu, à la prestation compensatoire. Nathalie a été déboutée de sa demande. Elle rabaisse notre filsJ'ai vécu ce divorce comme une véritable épreuve. Il a fallu six audiences avant que le jugement soit finalement prononcé, en 2011. Heureusement que nous nous étions mariés sous le régime de la séparation de biens. J'ai pu garder ma maison, et Nathalie, l'autre. Elle a obtenu la garde de notre fils. Comme elle s'est s'installée dans une autre ville, à 600 kilomètres d'ici, j'ai préféré limiter les déplacements pour le petit. Je le prends un week-end par mois et la majorité des vacances. Ce qui me peine, aujourd'hui, c'est qu'elle continue à le rabaisser. Récemment, elle a décrété qu'il était trop gros. Elle a mesuré son tour de taille, il aurait soit disant pris 3 cm de graisse au niveau du ventre. Alors qu'il est sportif, il joue au tennis, il est tout fin! J'avais peur qu'il se tracasse, alors j'ai cherché une solution pour le rassurer. C'est décidé, je vais l'emmener chez un spécialiste, un endocrinologue. Quand un médecin lui aura dit qu'il n'a pas de problème de poids, il le croira. Et sa mère ne pourra plus le tourmenter avec ça. Deux ans après le divorce, le harcèlement continueJe constate que Nathalie saisit toutes les occasions pour créer des problèmes. Les dates auxquelles je prends mon fils, les horaires, tout prête à discussion. Elle me dit 'Tu viens chercher le gosse samedi à 14h. Je m'organise en conséquence.' Puis elle me rappelle 'Tu ne peux pas le prendre à 14h, sinon il n'aura pas le temps de voir sa marraine. Alors je change à nouveau mes plans...' Mais je connais mes droits et je sais les faire respecter. Quand mon fils fréquentait encore l'école primaire, Nathalie était allée raconter des histoires sur mon compte au directeur. Elle lui a sans doute servi la fable de l'homme violent, qui bat ses enfants quand ils reviennent avec des mauvaises notes. Il refusait de me transmettre les bulletins de mon fils. J'ai été obligé de monter jusqu'à l'inspecteur d'académie pour les obtenir. Je suis divorcé de Nathalie depuis deux ans et pourtant, elle continue son harcèlement, via mon fils. Cet été, je suis parti en vacances en Corse avec ma femme et le petit. Pour une histoire qui ne mérite même pas d'être racontée, j'ai reçu en une seule journée une cinquantaine de textos et ma femme, une trentaine. Mais je tiens bon. J'espère obtenir la garde de mon fils. Il va avoir treize ans cette année, l'âge qui donne droit à la parole devant le juge". *Les prénoms ont été changés Estelle Saget Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely
Pixabay Dans la vie des narcissiques, tout tourne autour d’eux. Ils ont une haute opinion d’eux-mêmes, c’est pour cette raison qu’ils semblent très confiants. Mais en réalité, plusieurs choses les terrifient réellement. Voici 7 choses qui effraient les personnes narcissiques 1. LE MANQUE DE RESPECT Bien sûr, personne n’aime le manque de respect. Mais comme les narcissiques ont une haute opinion d’eux-mêmes, ils ont besoin que les autres fassent la même chose. Ils ne tolèrent pas du tout quand quelqu’un les traite sans respect. Cela les rend totalement fous et ils le prennent très personnellement. Ils peuvent se montrer rancuniers pendant des années. 2. L’ABANDON ET LE REJET Comme ils ont une haute opinion d’eux-mêmes, les narcissiques ne supportent pas le rejet. Ils ont besoin de penser que tout le monde s’intéresse à eux et que toute leur vie tourne aussi autour d’eux. Pour eux, le rejet est une chose douloureuse qui les rend incertains et ils ne supportent pas ce sentiment. Cela peut signifier qu’une personne narcissique a du mal à faire confiance aux autres, parce qu’elle a trop peur de risquer de se blesser. Quand les choses tournent mal, ils ont tendance à s’éloigner et affirment que la rupture était leur choix depuis le début. 3. LA PERTE DE LA JEUNESSE ET DU SUCCÈS Pixabay Les narcissiques doivent se sentir parfaits. Quand quelque chose commence à changer comme leur apparence, leur travail ou leur réussite globale, ils ne savent pas comment y faire face. Ils peuvent devenir encore plus abusifs et égocentriques. Ils commencent à vous attaquer et à prendre tout personnellement, ce qui apporte beaucoup de vibrations négatives. Généralement, ils finissent par être déprimés, irritables et méchants. 4. LES NARCISSIQUES ONT PEUR DE LA MORT La mort effraie les narcissiques, et c’est tout à fait logique parce qu’ils adorent avoir le contrôle sur tout. La mort est, malheureusement, une chose qui ne peut être contrôlée d’aucune façon, c’est tout à fait naturel. Ces personnes ne peuvent pas supporter l’idée qu’ils partiront un jour. Certains narcissiques peuvent même avoir peur de la vie après ou de l’enfer, car au fond, ils savaient qu’ils font du mal aux autres. 5. L’EXPOSITION Un narcissique n’agit pas toujours de façon juste et équitable. Ils font ce qui leur convient le mieux, souvent au détriment des autres. Lorsque vous les appelez ou que vous commencez à les accuser de quelque chose, ils perdent la tête. Ils peuvent être très en colère contre vous car ils sont incapables de reconnaître leurs propres erreurs. Ils adorent souligner les erreurs des autres, mais ils ne reconnaissent pas les leurs. Les narcissiques essaient de retourner la situation contre vous et de vous reprocher leurs propres erreurs. Ils peuvent être très manipulateurs et convaincants et, à la fin, vous pourriez devenir celui qui s’excuse. 6. LES MOQUERIES Les narcissiques s’inquiètent beaucoup de ce que les autres pensent d’eux. Ils font très attention à leur image et à leur réputation. Si quelqu’un se moque d’eux, c’est la fin du monde. Ils ne peuvent pas supporter d’être dans une position vulnérable. Néanmoins, ils peuvent se moquer des autres et faire de l’autodérision sans se sentir mal. 7. LES NARCISSIQUES ONT PEUR DE L’IGNORANCE Les narcissiques ont besoin d’attention. Peu importe si c’est une attention positive ou négative, il suffit d’être là. Ils ne supportent pas quand les gens les ignorent ou ne les remarquent pas. Ils veulent être le centre de tout, de sorte qu’ils préféreraient qu’une scène ou un drame se mette au centre des projecteurs que de rester immobiles dans un coin. Essayez d’éviter les personnes narcissiques dans votre vie, car elles apportent beaucoup de négativité et de drame. Mais si vous devez y faire face, souvenez-vous de ce qui leur fait peur, de sorte à pouvoir vous en servir contre eux quand ils essaient de vous manipuler ou de vous dominer.
Une croix et deux mains tendues, image Géralt Pixabay Le pardon Définition Le pardon est un acte d’amour envers nous-mêmes pour nous permettre d’accepter les blessures causées par un manipulateur pervers narcissique MPN et de les soigner pour atteindre la guérison. Pardonner à un MPN signifie que lorsque nous pensons aux offenses subies de sa part, nos réactions émotionnelles ont complètement disparu. A quoi sert le pardon ? Il sert à nous reconnecter à nous-mêmes, à Notre moi intérieur » que nous avions oublié. Nous reconnaissons dans le pardon que la faute existe et qu’elle nécessite systématiquement une certaine humilité de la part de l’offenseur. Accepter de pardonner sert à éviter des échecs sentimentaux à répétition. Pourquoi pardonner au MPN ? Lorsque nous sommes dans les souffrances, la colère puis la culpabilité, le pardon envers cet être toxique n’est même pas envisageable. Pardonner au MPN est nécessaire pour éloigner de nous l’envie de nous venger et de nous rabaisser à son niveau. En pardonnant au MPN, les chaînes de la vengeance tombent et nous permettent de nous focaliser sur le présent puis sur l’avenir tout en acceptant le passé vécu avec ce dernier sans pour autant oublié le mal subi. Le pardon est synonyme de … Cicatrisation Le pardon est le souvenir d’avoir été blessé mais aucune réaction émotionnelle ne subsiste dans notre cœur. A ce moment précis, la blessure est cicatrisée et nous sommes guéris tout en nous souvenant des faits de l’offense envers nous. En aucun cas, il ne s’agit d’oublier, ni d’enfouir la blessure pour avoir un semblant de paix. Responsabilité de nos actes Il est indispensable que chacun d’entre nous assume ses responsabilités. En effet, excuser une faute ou minimiser un acte blessant de la part du MPN est irresponsable. Toute erreur et toute blessure nécessitent obligatoirement une demande de pardon. Pardonner ne s’accorde pas sur une simple phrase, Allez on oublie tout, je m’excuse. Ou, on efface tout et on recommence. » Pardonner à un MPN nécessite de nombreux mois. Liberté de pardonner. Le MPN doit respecter notre liberté de pardonner ou non. S’il nous contraint de le faire, le schéma de manipulation est à nouveau enclenché. Nous devons impérativement nous affirmer devant cet être toxique. Si le pardon de notre part est obtenu trop rapidement, il recommencera et à nouveau, aura la victoire sur nous. Applications de nos droits. Dans certaines situations orchestrées par le MPN ou être toxique, il est impératif de saisir la justice pour nous protéger tout d’abord puis faire valoir nos droits pour nous-mêmes et nos enfants en cas de divorce. Le MPN peut jouer sur notre corde sensible » en se portant en victime. Cessons immédiatement cette mascarade. Le pardon n’exclut nullement de porter plainte en cas de dangers physique, psychologique et émotionnel. Changement en nous, pas chez l’être toxique. Le pardon nous permet de nous libérer de tous les fardeaux du passé avec le MPN. Mais ce dernier ne changera pas forcément. Peut-être, aura-t-il une lueur de lucidité dans son esprit ? Difficile à dire. En accordant le pardon au MPN tout en espérant que sa conduite change, c’est le forcer à quelque chose et donc chercher à le manipuler qui ne souhaite peut être pas au fond de son cœur. Choix de nous réconcilier ou non. La réconciliation et le pardon ne sont absolument pas identiques. Nous pouvons pardonner sans pour autant nous réconcilier contrairement à ce que nous entendons autour de nous. La relation avec le MPN a été construite sur le dénigrement de la personnalité de la victime qui a pu parfois conduire à une dépression voire une tentative de suicide. Même avec la meilleure volonté du monde, il paraît difficile de reconstruire un bonheur sur des ruines et sans confiance. Les étapes du pardon envers le MPN. Pour pardonner à un MPN, il est judicieux d’en être éloigné afin de nous retrouver avec nous-mêmes. » Ce qui équivaut de décider à ne plus souffrir. Sinon, la présence du MPN empêchera le processus du pardon. Admettre que nous avons été blessées. Pour reprendre le pouvoir sur notre vie, nous devons admettre notre blessure occasionnée par le MPN. Cette reconnaissance envers nous-mêmes évitera d’enfouir les blessures dans l’inconscient pour un jour, les ressortir violemment. Partager notre blessure avec quelqu’un de confiance ou un professionnel. Nous confier à une personne de confiance peut nous aider à surmonter nos émotions. Mais le professionnel est préférable par ses compétences d’écoute attentive où nous pourrons nous exprimer sur notre culpabilité, notre colère, notre envie de nous venger et vider notre cœur broyé. Le thérapeute ou le psychologue nous demandera d’essayer de comprendre le MPN. Pas pour l’excuser, non. Mais pour nous rassurer sur notre culpabilité et mieux cerner les faiblesses et les souffrances du MPN. Ainsi, peut-être, la décision de lui pardonner sera plus évidente en nous et pour nous. Nous donner de l’amour. Pour restaurer notre confiance et notre estime de nous-mêmes, il est primordial de nous parler avec beaucoup de douceur et avec amour afin de nous encourager dans cette douleur. Révélons à notre moi » que nous valons bien mieux ce que nous vivons ou avons vécu avec le MPN et que c’est normal de nous protéger contre ce dernier. Découvrir nos forces dans nos faiblesses. Nous venons de découvrir que nous sommes faibles. Faibles d’être trop gentilles, trop patientes, trop ceci, trop cela. Mais derrière ces soi-disant faiblesses et cette blessure d’offensée se cachent nos forces. Identifions-les pour nous rassurer et nous encourager à repartir sur le chemin de la vie. Cessons la culpabilité et pardonnons-nous. La culpabilité et le pardon envers nous-mêmes ont déjà été évoqués dans un article sur mon site internet. Appliquons les étapes pour nous sortir de l’enfermement causé par la culpabilité et le manque de pardon pour comprendre ce qui a été touché à l’intérieur de nous. Prendre notre temps pour pardonner au MPN. Les souffrances causées par le MPN nous ont anéanties. Pardonner facilement est une utopie. En effet, pour pardonner au MPN, nous devons être guéries intérieurement. Mais nous possédons toutes les ressources nécessaires en nous pour rebondir et reprendre en main notre vie dans le calme intérieur. Le MPN n’est pas obligé de savoir que nous lui avons pardonné. C’est préférable d’ailleurs car il prendrait ce pardon pour de la faiblesse et se donnerait l’autorisation de revenir dans notre vie. Les conséquences du non pardon. Refus de nous aimer. En refusant de pardonner au MPN, nous agissons de la même manière que lui. Nous préférons choisir de nous envoyer de la haine et de la vengeance dans notre cœur pour nous prouver que nous maîtrisons la situation. Or, en refusant de remplacer ces sentiments venimeux par de la douceur et de l’amour, le lien subsiste entre le MPN et nous-mêmes. Développement de maladies. Le non-pardon envers le MPN entretient le ressentiment dans notre cœur et nos pensées face aux événements du passé. Ainsi, plus nous ressassons les violences subies, plus nous risquons de développer du stress et de l’agressivité envers nous-mêmes et notre entourage. Pire, ce stress et cette agressivité accumulés se transformeront en une dépression ou autres maladies comme l’hypertension ou l’arthrite. La victimisation Pour prouver à notre entourage, combien notre cœur a été meurtri par le MPN, nous préférons rester victime. C’est le seul moyen que nous avons trouvé pour que notre famille, nos amis s’occupent de nous. Mais en nous comportant de cette manière, nous pourrissons notre vie et de surcroît celles des autres et favorisons la rencontre d’un nouveau MPN. La blessure enfouie. Parfois, pour vivre en paix, du moins, un semblant de paix, nous préférons nous dire et à notre entourage également que C’est fait, j’ai pardonné. » Dire cette phrase calme notre mental mais pas notre cœur. C’est ainsi que la blessure se trouve enfouie dans notre inconscient. Et cette blessure enfouie nous empêchera de vivre chaque instant présent avec joie et de nous projeter dans l’avenir. Le triangle de Karpman. Le MPN a joué les trois rôles du triangle de Karpman victime, sauveur, bourreau. Quant à nous victimes, nous avons accepté d’interpréter au moins deux rôles victime et sauveur. Le non-pardon envers le MPN peut nous entraîner à devenir comme lui et du coup interpréter le rôle du persécuteur. Pour éviter de nous complaire dans le triangle maudit de Karpman et de nous laisser mourir, nous devons faire ressortir la blessure pour la guérir avec une aide psychologique ou thérapeutique. Ainsi, nous passerons de la mort à la vie. Conclusion Pardonner au MPN va libérer nos pensées et notre cœur du passé émotionnel, psychologique voire physique subi. Ce travail effectué nous indiquera que nous sommes sur le chemin de vivre un nouveau chapitre en étant plus résistantes face à la vie. Dans le cas contraire, nous resterons mortes et surtout liées à tout jamais au manipulateur pervers narcissique. Débora De Nicolle, auteur du livre La victoire de Clarine sur le manipulateur pervers narcissique ».
Remarques assassines, reproches déguisés, dévalorisations… Bienvenu dans le monde impitoyable des pervers narcissiques. Homme ou femme, ces derniers sont mal dans leur peau et vont jeter leur dévolu sur quelqu’un pour le dévaloriser. Si certains comportements peuvent être révélateurs, plusieurs signes physiques pourraient aussi vous aider à démasquer ces manipulateurs, selon plusieurs études. Aperçu. "Les pervers narcissiques sont des personnes manipulatrices qui sont incapables de rendre heureux qui que ce soit pour la bonne et simple raison qu’elles ne sont pas en capacité de savoir ce dont l’autre a besoin", nous expliquait la psychologue Johanna Rozenblum. Ces manipulateurs se dissimulent parfaitement, semblent on ne peut plus charmants et maîtrisent l’art des beaux discours. Prudence, ils savent aussi détruire ceux et celles qui croisent leur route. Si plusieurs comportements sont connus pour être révélateurs, certains signes physiques pourraient bien vous aider à déceler un pervers narcissique. Selon une étude scientifique menée par les chercheurs Miranda Giacomin et Nicholas O. Rule et publiée dans le Journal of Personality, les individus présentant une personnalité “perverse narcissique” partageraient des caractéristiques physiques communes. On vous aide à les identifier à travers notre pervers narcissique sait mentir et rabaisser sa proieQuelques fondamentaux concernant cette sombre espèce que représente le pervers narcissique homme ou femme, il est mal dans sa peau, nous explique Johanna Rozenblum. Il va alors jeter son dévolu sur quelqu’un et le dévaloriser, en le rendant coupable de ses propres défauts. Concrètement, le pervers narcissique est malade et va tenter de rendre l’autre malade à sa place. Certains comportements doivent vous alerter. Un pervers narcissique n’a jamais tort ! "Il utilise le déni pour nier ses responsabilités ainsi que la réalité de ses actes" explique dans son livre le psychanalyste Jean-Charles Bouchoux. Ce type de pervers cherche à éviter toutes sources de conflit pour toujours garder une bonne image de lui. Il n’avoue jamais sa culpabilité. Pire, il l’a fait porter à quelqu’un d’autre !Un conjoint pervers narcissique va plonger son ou sa partenaire dans une spirale de culpabilisation et de dévalorisation qui a vocation à l’empêcher de penser par lui-même. Au quotidien, il va rabaisser et faire culpabiliser son ou sa partenaire "Attaquées dans leur intégrité physique et psychique, les victimes deviennent alors les jouets de ces personnalités narcissiques", décrit encore notre psychologue. Ces individus ont aussi un don pour le mensonge le pervers narcissique ment, même pour des choses sans importance, pour le plaisir de la maîtrise. Si certains comportements et répliques doivent mettre la puce à l'oreille, des chercheurs ont voulu étudier les caractéristiques physiques des pervers narcissiques. Pour ce faire, ils ont recruté des participants afin d'étudier les visages des personnes qui étaient dans le spectre narcissique d’un niveau normal à un narcissique épanoui.On ajoute que les chercheurs n’apportent pas d’explications claires quant à ces résultats. S'ils peuvent constituer une aide pour se prémunir de ces personnalités toxiques, on ne doit pas en faire une généralité. “Les gens peuvent plus précisément juger le narcissisme d'autres en se basant sur la façon dont ils agissent, ce qu'ils disent, ce qu'ils portent et à quoi leurs visages ressemblent", concluent les langage corporel est de plus en plus étudié pour permettre de mettre au jour les comportements psychologiques déviants. Des chercheurs américains de l'université du Nouveau-Mexique ont, en effet, également réussi à créer un algorithme capable de détecter les psychopathes grâce aux seuls mouvements de tête qu'ils ont durant leurs interrogatoires. "On observe notamment que les individus psychopathes ont tendance à regarder la caméra directement et fixement, et ont moins tendance à pencher la tête", ont en effet, remarqué les chercheurs américains dans leur étude. Ils ont, en effet, remarqué que "les personnes ayant un comportement antisocial diversifié, grave et persistant présentent une orientation plus rigide et plus ciblée de leur tête pendant les interrogatoires". Les recherches des scientifiques ont été publiées dans le Journal of Research in Personality. Selon l'étude menée par les chercheurs Miranda Giacomin et Nicholas O. Rule, les individus présentant une personnalité “perverse narcissique” partagent une caractéristique physique commune des sourcils plus pervers narcissiques auraient aussi tendance à présenter des sourcils plus épais et plus distinctifs. Selon les deux chercheurs, ces derniers "cherchent à avoir des sourcils distinctifs de façon à permettre aux autres de les remarquer, accroissant ainsi leur désirabilité et renforçant l’image exagérément positive qu’ils ont d’eux-mêmes”.Lorsque l'on ment- ce qui est fréquent chez les pervers narcissiques-, notre voix peut nous trahir, par des variations de fréquence dans notre flux de parole. Ces dernières peuvent être révélatrices d'un certain stress. Cette modification physiologique a été identifiée par plusieurs experts en psychologie, dont le Dr Leanne ten Brinke Haas School of Business, USA.C'est un autre signe physiologique qui apparait fréquemment chez les menteurs, si l'on en croit la science. Les yeux peuvent trahir un mensonge. Certaines personnes lèvent les yeux vers la droite lorsqu'elles se souviennent d'une information, mais les baissent quand elles pervers narcissique est complètement différent en public et en privé. Il utilise bien le langage pour faire passer tous les messages sous une apparence "politiquement correcte". Le sourire forcé en public est d'ailleurs une de ses marques de fabrique. Le but séduire les autres pour mieux les manipuler. Ils ont aussi tendance à faire des grands gestes lorsqu'ils s' pervers narcissique est charmeur et sympathique au premier à Johanna Rozenblum, psychologue clinicienne à ParisEyebrows cue grandiose narcissism, Journal of Personality, mai 2018 Body Language of Liars From Little White Lies to Pathological Deception ― How to see through the Fibs, Frauds, and Falsehoods People Tell You Every Day Broché - 21 octobre 2013Notre NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.
Publié le 26-10-2014 à 12h01 - Modifié le 27-10-2014 à 08h5473 réactions 646012 lu Temps de lecture 4 minutes Avec les pervers-es narcissiques, le masque tombe plus ou moins vite Flickr/Kathryn/CC Tout avait pourtant bien commencé. On s'entendait bien, elle avait le même point de vue que moi sur de nombreux sujets et on avait les mêmes projets. C'était une belle femme, qui inspirait confiance à tout le monde et on me félicitait d'avoir rencontré cette charmante personne. Elle m'a demandé de m'installer chez elle au bout de six mois. Peu après, elle m'a proposé d'acheter une maison ensemble. Tout cela me semblait un peu rapide, mais elle savait se montrer convaincante, alors j'ai accepté. Nous avons trouvé la maison quelques mois plus tard. C'était une grande et belle maison dans un beau quartier. Tout était prêt pour que nos projets se concrétisent. Cela semblait presque trop beau et la suite m'a montré que ça l'était... Elle montrait plus d'égard envers son chien Le jour du déménagement est arrivé et j'ai tout de suite remarqué une attitude agressive envers moi. Je me disais que c'était sans doute le stress de l'arrivée dans la maison. Cependant, mes amis et ma famille ont également trouvé son comportement choquant avec ses remarques blessantes à mon égard et sa façon de me parler comme à un chien. En réalité, ce n'est pas tout à fait vrai, elle montrait beaucoup plus d'égard envers son chien... Cette journée a été pleine d'enseignements. Ce jour-là, le masque est tombé, la véritable personnalité est apparue sombre, froide. Ma belle-mère a expliqué pendant le déménagement que mon beau-père se pliait à tous les caprices de sa fille et sans délai depuis qu'elle est née. Personne ne lui avait jamais dit non. Ma mère s'est aperçue également que mes beaux-parents avaient peur de leur fille. Elle m'empêchait de dormir La vie avec ma compagne n'a ensuite été faite que de rapports de force, un harcèlement continu, une attaque permanente et une usure de mes défenses. Au début, j'ai essayé de parler de ce qui se passait autour de moi, mais tout le monde minimisait ce qui se passait, ne sachant sans doute pas que de telles personnes existaient, tout comme moi. J'étais seul face au problème. Je travaillais la nuit et elle m'empêchait de dormir, estimant que j'avais trop dormi, ou me parlait sciemment de sujets polémiques, ce qui m'énervait avant de me coucher et m'empêchait de dormir. Je ne dormais bientôt plus que quatre heures par jour maximum et faisais souvent des "nuits blanches". Ce traitement m'épuisait. Mon entourage commençait à me demander si j'étais malade, car j'ai perdu rapidement du poids sept kilos en sept mois, depuis le jour du déménagement. Ma mère a eu peur de me voir dans cet état et disais que j'étais comme un "zombie", terme que je n'avais jamais entendu dans sa bouche. Elle cherchait à me posséder, comme un esclave Je n'attendais plus qu'une chose terminer les travaux dans la maison avant de partir et la vendre. Évidemment, rien de ce que je faisais ou disais n'était bien, elle cherchait toujours à me rabaisser, y compris en public. Elle était incapable d'admettre ses erreurs, se croyant supérieure à n'importe qui. Faire des excuses lui était impensable. Elle a cherché à m'isoler de ma famille, de mes amis et de mes collègues, ne les estimant pas dignes d'elle. Elle recherchait des relations "haut de gamme" avec des notables et des gens très aisés financièrement. Ma vieille voiture n'était pas non plus à son goût. Elle cherchait à me posséder, comme un esclave. Elle voulait que je fasse tout dans la maison. Comme à chaque fois, je rejetais ses ordres, ce qui provoquait sa colère. Lorsqu'elle voulait obtenir quelque chose, elle savait se montrer à nouveau charmante et aimable. Mais ce n'était qu'une façade et entrait de nouveau en furie quand je refusais. Elle avait alors un regard noir, plein de haine envers moi. Un jour, elle a cherché à m'enfermer dans ma chambre. Une autre fois, elle a exigé de voir mes fiches de paye tous les mois, car elle voulait mon argent. Je refusais d'accéder à ses demandes, mais cela était de plus en plus difficile, car psychologiquement et physiquement, j'étais de plus en plus à bout de forces. Elle avait également une discussion qui passait du coq à l'âne, ajoutant à la confusion. Elle se posait toujours en victime, voulant me culpabiliser de son humeur. Je pense qu'elle était capable de tout Un jour, une amie m'a dit que ma compagne était une perverse. Je me suis renseigné sur internet et j'ai compris que j'étais victime d'une perverse narcissique. Un test en ligne de sa personnalité, que j'ai trouvé sur un site internet spécialisé, m'a expliqué qu'elle était une poupée maléfique, très dangereuse, sans état d'âme. Cela fait froid dans le dos, mais cela correspondait à ce que je vivais. Je pense qu'elle était capable de tout. Un jour, alors que je terminais la rénovation de la façade de la maison, elle est rentrée de son travail et m'a reproché de ne pas avoir lavé les carreaux, comme elle me l'avait dit. Plusieurs disputes ont éclaté dans la soirée. J'ai fini par lui demander si elle était consciente de ce qu'elle me faisait subir. Elle m'a répondu calmement, froidement "Et encore, tu n'as rien vu. Tu n'as rien vu." Je suis parti avant qu'il ne soit trop tard C'est à ce moment que je suis parti, après avoir préparé mon départ. Elle a essayé de me retenir en me déclinant tout son panel d'actrice chantage au suicide, "on oublie tout", la colère, les lames de crocodiles séchées aussitôt, etc. Je suis parti sept mois après le déménagement. J'ai réussi à m'en aller malgré ses tentatives de m'en empêcher. Mon départ préparé a été une surprise pour elle et cela m'a aidé, même si cela a été très éprouvant. Quand j'ai démarré la voiture, j'ai poussé un grand ouf ! J'ai senti comme un énorme poids en moins. C'était la libération et le début de ma reconstruction, car on ne sort pas indemne de ce type de relation. Aujourd'hui, cela fait deux ans que c'est terminé. Je suis bien mieux dans ma peau, mais je n'ai toujours pas refait ma vie avec quelqu'un d'autre. Je suis devenu méfiant et je ne suis pas sûr d'avoir envie de rencontrer une autre personne. En savoir + sur ce sujet>> Le témoignage de Marie Murski, victime d'un pervers narcissique. roire1979_8 a posté le 31 décembre 2016 à 07h45En réalité, ce n'est pas tout à fait vrai, elle montrait pas mal plus d'égard envers son chien. une autre fois, elle a implique de voir mes fiches de paye tous les mois, car elle voulait mon argent...pagecarla a posté le 24 février 2015 à 16h52Bravo Vincent, il n'est pas aisé de se sortir des griffes d'une personne toxique. Les femmes sont majoritaires parmi les victimes mais les hommes, tels vous, êtes aussi face parfois à fes femmes hautement toxiques. Vous pouvez certainement, vous tous qui vous trouvez dans cette situation l'expliquer et trouver soutiens juridique et psychologique actifs auprès du "3919" n° de téléphone gratuit dédié.azerty9374 a posté le 9 septembre 2015 à 16h39"Les femmes sont majoritaires parmi les victimes" Bin voyons !Marcharid a posté le 8 décembre 2014 à 07h44Les parents de cette femme devraient consulter un thérapeute pour reprendre en main leur vie et non plus se laisser manipuler par leur fille. Bonne chance dans votre vie débarrassée de la a posté le 8 novembre 2014 à 11h37il y a dans ce livre toutes les connaissances nécessaires que les auteurs du milieu médical ont jugé utile de partager. a posté le 2 novembre 2014 à 10h45Bonjour, J'ai déjà fait un post il y a quelques jours pour indiquer que j'avais moi même vécu cet enfer durant 6 ans ! Je connais beaucoup de "victimes" hommes ou femmes et je vais vous dire pourquoi et nous présentons peu ou prou les même sympthomes post traumatiques. De la même manière que les comportements de type Manipulateur Perverse sont très séréotypés nous avons parfois l'impression qu'ils elles se passent le manuel entres eux ! Lorsque j'ai tout d'abord pris conscience de l'anormalité de ma situation puis "découvert" le mal dont souffrait mon Ex Femme Je parle de découverte car à l'époque, il y a environ 5 ans, le terme PN était encore peu connu et toutes les victimes connaissent également le moment ou il trouve soit un article, soit un livre traitant du sujet, et ils ont l'impression de lire leur vie enfin les années passées au côté de son ou sa PN. J'ai eu besoin de parler, de poser des questions, d'échanger avec d'autres... Et c'est très difficile avec quelqu'un n'ayant pas connu ou vécu ce type de relation ! Vous êtes en quelques sortes en train de leur expliquer que les "petits hommes / Femmes" existent. Ce n'est pas facile... J'ai éssayé de voir une thérapeuthe Je n'ai pas aimé la démarche.. En fait, ce qui a très bien fonctionné, c'est lorsque j'ai rejoins un groupe fermé de discussion sur Facebook Manipulateur Pervers Narcissique MPN Mon expérience sur ce forum à été très positive! j'ai mêmTequilasunrise a posté le 1 novembre 2014 à 11h42Bonjour Vincent, Il est très difficile de surmonter ce genre de situation. Quand on a des amis, de VRAIS amis, ils peuvent et doivent aider et accepter que l'on parle de ce que l'on a vécu même si le sujet revient souvent sur le tapis. Je connais une femme qui a vécu cela avec son concubin, il lui a même fait quitter son travail. Cette femme est arrivée à penser qu'elle faisait tout mal, car il la critiquait constamment. Elle perdu ses amis sauf moi qui ne la croyaient pas car ce mec manipulait tout le monde. Chaque fois qu'elle essayait de discuter avec lui de la situation, il disait "ce n'est pas le moment avec tout les problèmes que j'ai au boulot" ou "tu n'as pas d'autre chose à penser que Tes petits problèmes, cela se voit que les enfants ce n'est pas ta préoccupation première". Elle en a fait une déprime et a mis 6 ans pour s'en remettre. A distance car elle a osé le quitter il essaye encore de la manipuler, mais là elle n'est plus a posté le 1 novembre 2014 à 07h36Si on commence à raconter la vérité sur certaines femmes, où va t on ? contributioncontributioncontribution a posté le 1 novembre 2014 à 01h21Bonsoir, moi aussi j'ai vécu avec un pervers qui s'est "barré" je n'aurais pas eut la force de le quitter par contre j'ai fais le nécessaire lorsqu'il l'a fait constatation huissier,avocat,plainte pour menaces,psy pour mon enfant et pour moi partage auprès de la famille ,les amis,mon entreprise... Et oui j'ai compris que c'était ma chance pour m'en sortir!!! Pour certains bien sur le malheur est contagieux,ils vous fuient ,ils refusent d'entendre ou ils te disent que cela arrive a beaucoup de gens et quand ils voient que tu es bien ils te demandent comme ça va!!!! Bah je ferais pareil un jour, ça reste gravé. La roue tourne ... Et les langues se sont déliées en fait certains avaient vu des choses mais attendaient que je vois par moi-même.. comme c'est délicat! Après je suis restée ferme sur certains points,j'ai toujours travaillé et progressé,il a put me mentir sur pleins de choses,me couper de ma famille,de mes amis, jamais il n'a levé la main sur moi car il savait que je ne me laisserais pas faire et que j'irais à la financièrement,je suis restée pour mon enfant,pour le mirage de "tout va s'arranger" il ira mieux. Au bout d'un moment je lui disais carrément d'aller se faire soigner... Il est revenu au bout de 4 mois, comme si de rien n'était alors qu'il m'avait menacée devant notre enfant avant de partir... 4 mois fantastiques,retrouver le gout de partager de bons moments entre amis, la sérénité, la tranquillité,plus de stdavisjefferson a posté le 30 octobre 2014 à 19h38Oh le méchant misogyne !Batmangouste a posté le 29 octobre 2014 à 19h18Salut Vincent. J'ai eu la même expérience que vous, et lorsque j'ai lu cet article je n'ai pas pu m'empêcher d'en ressentir un froid glacial me traverser la colonne, comme si nous avions été confronté à la même personne. Tout y est;, la personnalité caché, la manipulation, la privation de sommeil, l'accaparement du moindre aspect de notre vie argent, lien familiaux et amicaux, isolement absolu. La femme que je cotoyais essayait même de me faire croire que j'étais le pervers narcissique dans l'histoire, elle a presque réussit je dois avouer ... Bref j'ai réussit à m'en sortir et à partir, après avoir aussi eu droit au chantage au suicide et à tout ce que vous avez décris. Cela fait maintenant 3ans, je me retrouve absolument seul m'étant coupé de toute le monde à cause d'elle, incapable d'aller de nouveau vers autrui. Vous arrivez à surmonter ça vous ?vincentprouvoyeur a posté le 29 octobre 2014 à 21h08Salut Myckaël. Je voyais beaucoup moins mes proches, mais je n'avais pas couper les ponts. Cela m'a aidé à remonter la pente ensuite. C'est pourtant difficile de m'en remettre malgré tout. Des amis essaient de me présenter leurs amies célibataires, mais je n'en ai pas envie. C'est sans doute la peur de rencontrer à nouveau quelqu'un de toxique. Mais je ne me laisse pas aller, je pratique ma passion en club, je sors quand j'en ai l'occasion et je passe des soirées avec des amis. J'ai également rencontré de nouvelles personnes avec lesquelles je me suis lié d'amitié. En bref, j'essaie de profiter de la vie et je me dis que le reste a posté le 30 octobre 2014 à 09h11Heureusement que l'humanité ne soit pas composée que de pervers narcissiques ! N'allez pas immédiatement à la Thébaïde, mais soyez un peu moins naïf, moins enfant, moins confiant. Entre ce qu'on dit et ce qu'on croit, il y a de l'espace et c'est là que se loge l'intention soit bienveillante soit malveillante. Un bienveillant dit ce qu'il croit comme vrai, ce qu'il pense que c'est vrai, ce à quoi il accorde la qualité de vrai. Le malveillant manie les mots qu'il fait passer pour vrais, fait semblant qu'il y croit, mais dans son for interne "in petto", il sait pertinemment que c'est faux. Hélas ! le monde compte plus de malveillants que de bienveillants, mais ça se trouve quand a posté le 29 octobre 2014 à 09h05Rien de nouveau sous le soleil. Un homme averti en vaut deux. Molière, encore lui, a déjà croqué les femmes dévoreuses d'hommes. Je défie quiconque de ne pas être sur ses gardes après la lecture de la pièce " Georges Dandin" , le bonhomme de paysan qui s'est frotté aux aristo, en se mariant avec la fille des gens à particule ! " M. et Mme de Sottenville" ! La dame prise en flagrant délit d'adultère ou presque connaissait déjà le chantage au suicide. Devant la fermeté de G Dandin qui voulait la faire châtier, en dépit de toutes les supplications qu'elle lui adressait, la perverse n'hésitait pas à jouer la dernière carte " Mon coeur se portera jusqu'aux extrêmes résolutions, et de ce couteau que voici je me tuerai sur la place" Acte III, scène VI Le paysan s'est laissé attendrir et la perverse , illico, reprenait la place d'une aristo pour le traiter en plébéien, inversant la situation en une tour de a posté le 29 octobre 2014 à 00h01A ceux qui disent que la perversion narcissique n'existe pas, lire "Le génie des origines" Payot, 1992 de Paul-Claude Racamier, psychiatre et psychanalyste, qui a le premier employé et développé cette notion. Ou, pour aller droit au but "Les perversions narcissiques, Payot, 2012 réédition des chapitres 9 et 10 du "génie des origines". Par ailleurs, deux thérapeutes de couple et disciples de Racamier, ont écrit "Saccages psychiques au quotidien. Perversion narcissique dans les familles" Maurice Hurni et Giovanna Stoll, l'Harmattan, 2003. ce bouquin, beaucoup moins théorique que le "Génie", démonte les rouages des relations violentes que les pervers narcissiques font vivre à leurs victimes, à partir des cas auxquels ils sont régulièrement confrontés. "Il n'y a rien à attendre de la fréquentation des pervers narcissiques, on peut seulement espérer s'en sortir indemne." Racamiergerardbianchi a posté le 28 octobre 2014 à 16h54Cher Vincent, Je ne vous critique pas et je ne me moque pas de vous. Je pense simplement qu'il y a une presse spécialisée dont la ligne éditoriale est de s'intéresser aux problèmes comme le vôtre. Le "plus" est une émanation du Nouvel Observateur et en tant que vieux lecteur du Nouvel Observateur j'en attend autre chose. Voilà a posté le 28 octobre 2014 à 15h35Tu as eu beaucoup de courage, mais ne te referme pas, prends seulement plus de temps. Bonne chance azerqsd a posté le 27 octobre 2014 à 22h47Et pourquoi avoir fuit ? Pourquoi ne pas l'avoir jeté à la porte ? Toutes ses affaires dans un sac sur le pas de la porte, la serrure de celle-ci changée, et lui donné l'ordre de partir d'un ton TRES menaçant. En fuyant, vous vous faites du mal à vous puisque vous dites "Je suis devenu méfiant et je ne suis pas sûr d'avoir envie de rencontrer une autre personne." mais en plus, vous ne protégez pas les autres hommes que cette femme va pouvoir rencontrer. Ces pervers narcissiques prennent un sacré coup quand quelqu'un leur résiste et se montre plus fort qu'eux. C'est le seul moyen de les remettre dans le droit chemin leur montrer que leur comportement est voué à l' a posté le 28 octobre 2014 à 15h21La question n'est peut être pas "Pourquoi ne pas l'avoir jeté à la porte", c'est "Aurais-je été capable de la jeter à la porte ?". Si l'on comprends bien la situation dans laquelle l'auteur s'est retrouvé englué, son état physique et psychologique sont au plus bas. Du coup, il est compréhensible qu'il n'ait plus les moyens de se défendre, ne reste alors plus qu'une option viable la fuite. De plus, la dualité de la personne peut parfois aller jusqu'à entrainer les gens extérieurs à la situation à penser que c'est de votre faute alors que vous ne faites que vous défendre, et vous faire passer pour "le méchant". J'ai vu cela étant adolescent avec l'un de mes ami dont les parents étaient séparés et se détestaient, qui s'amusait à rejeter la faute sur l'autre parent pour s'attirer la sympathie de celui avec lequel il se trouvait. Quand tout le monde est contre vous, comment vous en sortir ? Voir aussi les affaires de faux abus sexuels pour obtenir la garde des enfants, "à la mode" dans les années 90bmenligne a posté le 28 octobre 2014 à 16h11Parce que le/la perverse narcissique" ne sort de la phase de séduction que lorsqu'il/elle a la certitude de te tenir. La fuite avec perte et fracas est la seule solution lorsque après la phase de séduction et un long temps de destruction tu est, à minima, complètement épuisé lorsque tu décide de partir. Pour se montrer plus fort qu'eux, il faut d'abord se reconstruire, récupérer avant de chercher à regagner du terrain à partir d'une position délicate. Et la société joue contre toi dans ce cas la jeter à la porte, comme tu le dis, n'aurais servi qu'à un dépôt de plainte qui en aurait fait une victime aux yeux de la loi et aurait fait condamner son auteur qui aurait ainsi publiquement endossé le rôle du bourreau et perdu encore plus. Démonter les petites et grandes machinations pour rééquilibrer la situation prends beaucoup de temps et d'énergie lorsque la situation n'est pas trop défavorable ou lorsque le/la perverse fait des erreurs à son tour. Et il n'y a pas de moyen de les remettre dans le droit chemin parce que c'est une affection psychologique et qu'ils n'ont aucune intention de se soigner. D'autant plus que l'évolution de la société favorise aujourd'hui la réussite de ce type de a posté le 29 octobre 2014 à 14h48Bonjour, pour répondre à ta question je me bat depuis 2 ans bientôt pour voir mes enfants Donc si tu te bat contre ce type de gens soit épaulé moralement par du monde seul tu est mort Sache que jamais un juge ne te croira car la première victime c'est le bourreaux !!!!!! En clair une pervers narcissique est capable de se renier lui/elle même afin de faire croire qu' elle est la plus ... tout ce que tu veux y passe meilleur mère meilleur femme meilleur partout elle gère et en faite elle ne gère rien c'est l'autre qui fais tout.personne ne te crois bien-sur même tes proche bizarre non ? un pervers te traitera de pervers devant un juge t'accusera de ce qu'elle même à fait de grave ..Le problème viens de la je suis la meilleur je suis accablé par l'autre ... Résultat va démasquer qui est qui ???? Donc effectivement mieux vaut partir ou ce préparer à ce battre face à une justice ou une injustice constante ...incapable de penser qu'une pervers narcissique peut exister il y a forcement une raison .... Si elle vous en veux ??? la raison c'est qu'elle ma tout pris même ma force. j'en est plus. donc je ne l’intéresse plus donc je suis le con ...Il ne reste plus cas ce débarrasser de la personne tout est bon, fausse plaintes,messonges et le reste ... En réalité le jour ou le pervers na plus besoin de toi pour ce construire il se barre en te disant les pires immondice en espérant que tu te mette une balle c'est pas au sens figuré mais bien littérahuynhtran a posté le 27 octobre 2014 à 17h59Ha ! ha! ha ! J'ai bien eu raison d'avertir l'auteur de l'article de se méfier ! A lire ces doctes et doctissimes psy, notamment celle qui revendique la "psychotraumatologie", on se demande si l'on était pas en présence d'une guerre de religion, d'orthodoxie psychiatrique. L'auto-proclamé orthodoxe se permet de juger les autres et d'en rire . Qu'est-ce qu'ils ne nous ont pas fait rire ces professionnels d'humour ! Je conseille à l'auteur de l'article, avant toute chose de lire ou de relire notre Molière, plus précisément la pièce " Monsieur de Pourceaugnac" pour profiter de l'expérience de l'un de nos génies les plus pénétrants dans l'observation de la société. Tout y est décrit et si vous voulez rire vous allez vous plier en deux pour un bon moment. Quant aux experts, que de lacâneries en si peu de mots. On s'en fout des terminologies, on s'en fout des manipulateurs de termes ronflants. Rira bien celui qui rira le dernier. Sérieusement, le psy le moins cher et le plus rapide est le meilleur. Par ex. celui qui pratique a posté le 30 octobre 2014 à 19h38Merci Corneille !ech1962 a posté le 27 octobre 2014 à 15h16Le ou la perverse narcissique existe bel et bien et de tous temps, avant on leur donnait d'autres noms, plus clairs la "casse c......" ou le "gros c..". Par ailleurs je crois que l'on peut tous être à des moments des pervers narcissiques, après il y a les vrais "méchants" bien tordus qui alternent chaud et froid, hélas il faut un peu d'expérience pour les cerner rapidement et fuir à toutes jambes. Quant au professionnels de la profession qui dénigrent à quiconque le droit d'un diagnostique de pervers narcissiques, on a pas tous les moyens de payer 130 € la séance pour s'entendre dire que son conjoint est toxique.....johndrake a posté le 27 octobre 2014 à 15h02Je suis un homme de 40 ans... J'ai vécu 7 ans avec une femme également atteinte de ce trouble. Beacoup ici parle de personalité, la personalité évolue... par pour eux car c'est structurel. Ils ce sont construits ainsi et c'est malheureusement définitif ! Incapacité a gerer la moindre frustration, langage paradoxale, projection sur l'autre de ses propres défauts, mensonges pathologiques.. et tant d'autres choses qui provoque le chaos chez la victime ! Ce qui est pervers, c'est la capacité à "masquer" tout cela au début de la relation... et d'attendre un évènement mariage, enfant, maison.. pour enfin se présenter sous son vrai jour ! Cela reste l'éxperience la plus douloureuse de ma vie... et chaque matin je me bats pour me reconstruire petit à petit.. mais elle "rode" encore et ce n'est pas facile ! Ils ne lachent pas leur proie "favorite" si facilement ! Bon courage a celles et ceux qui traversent cette épreuve !BREIZ44 a posté le 27 octobre 2014 à 13h02Perverse narcissique ça ne signifie rien en soi. Mais malade mentale, oui ! Certains schyzos sont capables de simuler jusqu'à ce qu'ils aient la personne en leur pouvoir. Et ensuite, c'est le déchaînement a posté le 27 octobre 2014 à 11h40Ce témoignage reflète uniquement la vision de la "victime", or, et c'est un point de vue personnel, dans une relation, il y a une échange; qu'il est "pollué" par un vécu personnel. j'aime à penser que deux être vivent ensembles et se soignent mutuellement de leurs maux intérieurs. et c'est parfois douloureux. J'aime beaucoup la remarque de jules... c'est ... comment dire.... d'une vue en perspective qui soulève le côté ridicule de la a posté le 27 octobre 2014 à 12h33Bonjour Gaël. Il est bien normal que nous ayons une vision personnelle puisque c'est le principe du Plus...gerardbianchi a posté le 28 octobre 2014 à 16h57C'est vous qui censurez lorsque l'on rappelle que le Nouvel Obs nous avait habitués à des articles d'une toute autre tenue?nemosophie a posté le 27 octobre 2014 à 10h17 L'auteur, N'y aurait-il pas une coquille dans le titre "J'ai vécu 7 mois..." ou bien "J'ai vécu 7 ans..." ; car en l'état actuel l'histoire est incohérente sur une si brève période de temps. Mis à part cela, on retrouve dans votre témoignage les "constantes" stéréotypées des victimes de ce type d'agresseur psychologiques souffrant à la base d'une importante faille narcissique avec une totale absence de limite entre soi et autrui ou des limites floues. La reconstruction passe par une bonne compréhension des processus destructeurs de la personnalité que la victime a subis. Il n'y a malheureusement que peu de professionnels aptes à les expliciter correctement à leurs patients, car cette dynamique induit des phénomènes bio-psycho-sociaux qu'à ma connaissance seule la psychotraumatologie, très peu connue en France pourtant initiée par un français contemporain de Freud permet de décortiquer, d'analyser et de comprendre. Liens http//per a posté le 30 novembre -1 à 00h00Très bon commentaire et analyse. Le problème, contrairement à ce que certains autres commentaires semblent vouloir dire, n'est pas que la victime est "victime consentante", c'est que sous prétexte que ce type de pathologie est très mal comprise et analysée, on déclare qu'elle n'existe pas. Il s'agit d'une erreur grave pour des professionnels de santé et/ou psychologues dans certains cas. Donc en réponse à tous ces témoignages n'écoutez pas le quidam qui pense être intelligent en vous accusant de vous être laissé faire, d'avoir été faible. À la base vous n'êtes pas faible, vous le devenez. C'est un travail de sape qui aboutit sur l'incapacité de s'enfuir, de penser librement et sereinement. Prenez un oiseau, coupez-lui les ailes et invectivez-le parce qu'il ne s'enfuit pas lorsque le chat s'approche de lui pour le manger. Voici en substance ce que ces personnes vous disent. Ayez confiance en vous, même du peu qu'il vous reste de cette estime de soi blessée, et sachez que vous n'êtes pas seuls. Il existe des professionnels qui plutôt que de fustiger la victime et l'enfoncer encore plus ont choisi d'analyser, comprendre et proposer des explications et solutions scientifiques pour ces pathologies. Plutôt que de citer le DSM comme d'une bible figée et à la vérité toute faite, sachez que cet ouvrage est susceptible de changer et de s'améliorer en fonction des connaissances et avancées de la médecine qui nécessite une remise en question incessannemosophie a posté le 27 octobre 2014 à 11h35 Guillaume BASSAND, Très juste... Et pour ceux qui ne comprennent pas comment de telles dynamiques mortifères sont mises en oeuvre A préciser également que les agresseurs psychologiques souffrant d'une importante faille narcissique absence de limites entre soi et autrui ou limites floues qu'ils comblent comme ils peuvent par de nombreuses stratégies défensives ont été décrit sous de nombreuses et diverses appellations pré-psychotiques, borderlines, état-limites, faux-self, personnalités has-if, etc. Toutefois, ces personnalités aux limites incertaines entre leur monde interne et le monde externe n'utilisent pas tous des mécanismes de défenses narcissiquement pervers et il est important de ne pas les a posté le 27 octobre 2014 à 12h34Bonjour Nemo. Il s'agit bien de sept mois, comme c'est également écrit dans la chronique. Bonne journée !vincentprouvoyeur a posté le 27 octobre 2014 à 19h30Bonsoir. Nous avons vécu 7 mois dans la maison, mais la relation a duré un peu plus de 2 ans au total. Nous avons vécu quelques mois ensemble avant d'acheter la maison. C'est une fois que nous sommes entrés dans celle-ci que sa personnalité s'est a posté le 27 octobre 2014 à 21h00 Vincent P., OK pour moi, c'est plus clair les 7 mois correspondent donc au 7 mois de vie commune dans la maison achetée ensemble. Cependant, si votre relation a duré un peu plus de deux ans et que vous avez habitez chez votre ex six mois après votre rencontre, c'est que vous avez vécu près d'un an chez elle avant d'aménager dans votre villa commune. C'est également beaucoup plus compréhensible ainsi, car 7 mois de vie commune, c'est très court pour installer une relation d'emprise telle que vous la décrivez. Plus de deux ans, c'est déjà bien différent. Pour sortir d'une relation d'emprise, il n'y a pas cinquante solution, il faut commencer par comprendre comment on y est entré http//per a posté le 27 octobre 2014 à 21h31Je vous remercie, je vais lire cela à tête reposée. Ce sera sans doute plein d'enseignements. Vous avez raison, je dois comprendre ce qui est arrivé et comment j'en suis arrivé a posté le 27 octobre 2014 à 08h30"Je me suis renseigné sur internet et j'ai compris que j'étais victime d'une perverse narcissique." C'est énorme! "Un test en ligne de sa personnalité, que j'ai trouvé sur un site internet spécialisé, m'a expliqué qu'elle était une poupée maléfique, très dangereuse, sans état d'âme." C'est ENOOORME! J'en ris encore, merci pour ce moment!Stelmela a posté le 27 octobre 2014 à 08h50Je ne vois pas ce qui est énorme Jules Fradin; peut-être que si vous aviez-connu une telle situation vous comprendriez-mieux la détresse de ce monsieur. Bref, votre com est inintéressant et inappropriéStelmela a posté le 27 octobre 2014 à 08h55Je ne vois pas ce qui est énorme Jules Fradin ; peut-être auriez-vous connu une telle situation, vous auriez au moins la décence de ne pas vous moquer en sachant l'impact psychologique que cela représente. Bref, votre commentaire est puérile. Je ne vous souhaite pas la même chose que ce monsieuraudreykucinskas a posté le 27 octobre 2014 à 09h04Vous pouvez, Jules, nous expliquer ce qu'il y a de drôle ?julesfradin a posté le 27 octobre 2014 à 09h10Qui sait, je suis peut-être moi même un pervers narcissique, méfiez-vous! D C'est définitivement énorme! ^^julesfradin a posté le 27 octobre 2014 à 09h21Expliciter le caractère humoristique d'un propos ou d'une situation c'est prendre le risque de le dénaturer. Par ailleurs, dans le cas précis qui nous occupe, c'est tout de même assez... énorme pour ne pas être vu! DStar a posté le 27 octobre 2014 à 09h39Sauf que Jules à raison sur le fond, cette théorie sur le pervers narcissique pourrait être comique si elle n'était paranoïaque. Le "pervers narcissique" n'est décrit dans aucun ouvrage de psychiatrie. Il n'est pas non plus dans le DSM 4 et encore moins dans le 5, le seul trouble psy qui s'en approcherait serait le trouble narcissique de la personnalité qui n'existe plus dans le DSM 5. Si il faut pénaliser le narcissisme, ça va faire du monde. Car précisément l'analyse que nous livre l'auteur de cet article est très narcissique voir a posté le 27 octobre 2014 à 09h57Un manuel plus récent consacré et consacrant par là le "poupéisme maléfique" et le "sans-état-d'âmisme" nous aura probablement échappé! ^^cyrilhb a posté le 27 octobre 2014 à 09h57Le trouble de la personnalité narcissique est décrit dans le Diagnostic and Statistical Manual DSM-IV qui classifie chaque trouble de la personnalité dans un groupe parmi trois, en fonction des symptômes qui les caractérisent3. Cette classification place le trouble de la personnalité narcissique dans le groupe B des troubles de la personnalité, troubles caractérisés par un sentiment excessif d'importance personnelle. Ce groupe inclut également le trouble de la personnalité borderline, le trouble de la personnalité histrionique et le trouble de la personnalité antisociale. Le trouble de la personnalité narcissique est également répertorié dans le Manuel de Classification International des maladies CIM ICD-10 publié par l'organisation mondiale de la santé. Le CIM décrit le trouble de la personnalité narcissique négativement, comme un trouble de la personnalité qui n'entre dans aucune rubrique spécifique ». Le trouble de la personnalité narcissique est relégué dans une catégorie intitulée Autres troubles de la personnalité spécifiques », qui inclut également les troubles excentrique, haltlose », immature, passif-agressif, et psychoneurotique. DSM-IV[modifier modifier le code] Le patient présente au moins cinq des symptômes suivants le sujet a un sens grandiose de sa propre importance par exemple, surestime ses réalisations et ses capacités, s'attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en racyrilhb a posté le 27 octobre 2014 à 10h01Le trouble de la personnalité narcissique est décrit dans le Diagnostic and Statistical Manual DSM-IV qui classifie chaque trouble de la personnalité dans un groupe parmi trois, en fonction des symptômes qui les caractérisent3. Cette classification place le trouble de la personnalité narcissique dans le groupe B des troubles de la personnalité, troubles caractérisés par un sentiment excessif d'importance personnelle. Ce groupe inclut également le trouble de la personnalité borderline, le trouble de la personnalité histrionique et le trouble de la personnalité a posté le 27 octobre 2014 à 10h05Le trouble de la personnalité narcissique est décrit dans le Diagnostic and Statistical Manual DSM-IV qui classifie chaque trouble de la personnalité dans un groupe parmi trois, en fonction des symptômes qui les caractérisent. Cette classification place le trouble de la personnalité narcissique dans le groupe B des troubles de la personnalité, troubles caractérisés par un sentiment excessif d'importance personnelle. Ce groupe inclut également le trouble de la personnalité borderline, le trouble de la personnalité histrionique et le trouble de la personnalité a posté le 27 octobre 2014 à 10h08Oui enfin le DSM c'est des cases et les gens ne sont pas fait pour aller dans des cases, mais merci pour la précision il faut le dire. Jules en rit, il a le droit, on réagit tous différemment! Prendre du recul et rire de tout n'est pas donné à tout le monde, bien que la situation de cet homme soit dramatique. Notons qu'il s'en est bien sorti, il a eu la décence de partir "relativement vite", certains seraient restés un moment et y auraient perdu des plumes et la a posté le 27 octobre 2014 à 10h18Cyril, une lecture "plus attentive" du message de Franck vous aurait évité cette intervention stérile... Et par là un certain ridicule... ;julesfradin a posté le 27 octobre 2014 à 10h34Gageons que de nos jours, lors d'un échec relationnel, on est tous le pervers narcissique de l'autre, ce qui, reconnaissons-le, sied fort bien à l’ego de tout le monde comme au portefeuille des thérapeutes bien adaptés. L'enfer c'est les autres comme disait Sartre dans une pièce dont le titre -Huis-clos, caractérise assez bien l’existentialisme contemporain... ;Star a posté le 27 octobre 2014 à 10h36le trouble de la personnalité narcissique n'est pas repris dans le DSM 5 et ce n'est pas sans raison. Il y a quantité de gens qui sont narcissiques, ça n'a rien d'un trouble mentale. Et feu le "trouble de la personnalité narcissique" n'est pas la figure du "pervers narcissique" qui est une théorie digne du narcissisme justement. On ne peut dénoncer ce qu'on est sauf à être paranoïaque. Si vous ne comprenez pas en quoi une telle théorie est narcissique, c'est très simple, c'est une théorie qui met en accusation un "monstre pervers" et sa "victime". Mais cette victimisation en rejetant tout responsabilité se révèle être narcissique au a posté le 27 octobre 2014 à 10h59 Jules Fradin et Franck Star, D'où sortez-vous l'info que le "seul trouble psy qui s'en approcherait [du "pervers narcissique"] serait le trouble narcissique de la personnalité qui n'existe plus dans le DSM 5" ? Le DSM-5 n'est pas encore disponible en français, mais cette nouvelle version de la bible de l'APA qui n'est certes pas sans critiques a bel et bien conservé le trouble de la personnalité narcissique en l'enrichissant considérablement de nouveaux paradigmes. Cette nouvelle description va totalement dans le sens de la définition du narcissisme que donne la théorie de la perversion narcissique depuis plus de cinquante ans déjà http//per Dès lors, comment pouvez-vous bâtir une argumentation sur de telles assertions infondées ? Ne serait-il pas plus juste d'échanger et de communiquer sur la base d'informations vraies et vérifiables plutôt que sur des affirmations fausses, voire mensongères ?julesfradin a posté le 27 octobre 2014 à 11h13De nos jours, les pervers narcissiques c'est un peu comme l'intolérance au gluten finalement il suffit de lire la liste des symptômes pour s'en croire la victime! ^^julesfradin a posté le 27 octobre 2014 à 11h25Nemo Sophie n'est-ce pas insulter la qualité des travaux de Philippe Vergnes -que je connais très bien et dont j'apprécie la réflexion à la juste valeur, que de les citer pour défendre le caricatural témoignage que nous commentons présentement? L'auteur de l'article que vous relayez ne fonde pas ses analyses sur celles de sites "spécialisés", et encore moins sur les témoignages douteux de journaux à sensations comme le plus... Faites attention, un argument d'autorité ne fait effet que bien contextualisé. Mal placé, il a l'effet inverse de celui escompté... ;Star a posté le 27 octobre 2014 à 11h38moi j'appelle ça la paranoïa...nemosophie a posté le 27 octobre 2014 à 11h42 Jules Fradin, Cela va bien plus loin que l'intolérance au gluten Nier ce fait de société n'est désormais quasiment plus possible sauf pour tous ceux qui souhaitent justement "jouir à tout prix" et ce même et surtout au détriment d'autrui. "Le monde ne sera pas détruit pas ceux qui font le mal, mais par ceux qui le regarde et laisse faire" Albert EINSTEIN.julesfradin a posté le 27 octobre 2014 à 11h49Pour me fendre d'un message sérieux, je ne saurais que trop conseiller à ceux qui souhaitent se pencher sérieusement sur la question la lecture de la thèse de médecine de Georges Canguilhem intitulée "Le normal et le pathologique", dont l'enseignement épistémologique s'avère ici fort précieux! ;nemosophie a posté le 27 octobre 2014 à 12h15 Jules Fradin, Vous parlez de "caricatural témoignage" et je ne peux qu'approuver, car en effet il y a un doute que j'ai relevé dès ma première intervention ci-dessus. D'où ma question à l'auteur concernant la possibilité d'une coquille en titre de cet article. Sans réponse à cette question, il est impossible de juger de la réalité du vécu ici retranscris et dans le doute, je préfère m'abstenir de porter un quelconque jugement. Il est vrai que les phrases que vous avez relevées m'ont également fait sursauté, mais d'autres indices donnés par ce témoignage, un peu confus soi-dit en passant, m'ont fait relativiser "l'énormité" que vous dénoncez. Je pensais que vous étiez contre la théorie de la perversion narcissique dans le sens de l'intervention de Franck Star qui déclare que le DSM-5 a supprimé la description du trouble de la personnalité narcissique tel que présenté dans le DSM-IV ce qui est faux puisque ce nouveau "catologue" des troubles psychiatriques a au contraire enrichi la description du trouble narcissique dans un sens déjà pris plus de cinquante ans auparavant par la théorie de la perversion narcissique et également dans un sens soulevé par la thèse de Georges Canguilhem que vous évoquez puisque cette nouvelle description ajoute une dimension qualitative à la description du a posté le 27 octobre 2014 à 12h50Vous mélangez les torchons et les serviettes cher Sophie, ce qui semble nuire à la bonne entente de mes propos... Et puisque vous semblez aimer les arguments d'autorité -Vergnes, Einstein, je vais y recourir à mon tour. Tout d'abord, le cœur de l'analyse de Philippe se trouve être l'empathie -ou plutôt son absence, sujet que je connais relativement bien pour en avoir fait à mon tour le centre de mes recherches doctorales en bioéthique, sous la direction de Corine Pelluchon auteur entre autre de "l'Ethique de la vulnérabilité". Aussi la question n'est-elle pas de nier un phénomène, que je reconnais, mais de savoir en discerner les potentielles inévitables? récupérations. En l’occurrence ici, loin de nier la possibilité d'une névrose, l'objection tendait bien au contraire à la supposer chez celui qui s'en disait la victime. Plus fondamentalement, la faculté d'empathie étant systémiquement et par là systématiquement entravée afin d'obtenir des individus qu'ils correspondent à la figure ad hoc de l'égoïste rationnel telle que décrit par les actuelles et dominantes théories économiques celles des jeux et des choix publics notamment, toute personne bien "adaptée" correspondra peu ou prou à la description du pervers narcissique. Et c'est la précisément que se trouve la perversion, tant du système que du témoignage ici commenté qui y participe profondément. La possibilité pour n'importe qui de s'improviser analyste -fortement présujulesfradin a posté le 27 octobre 2014 à 13h09suite du message précédant La possibilité pour n'importe qui de s'improviser analyste -fortement présupposée par cet article, participe elle-même de ce processus pervertissant les relations sociales, en invitant fallacieusement les individus à privilégier le recours à une pseudo-science facilement accessible via internet à leur faculté empathique, pourtant unique moyen de compréhension interpersonnelle. Ainsi vulgarisée à mauvais escient, cette pathologie se déploie aussi sournoisement qu'elle le fait de manière pour ainsi dire endogène par le truchement de sa stigmatisation, la rendant ainsi facteur de déliaison sociale. C'est une excellente illustration de que ce que Foucault décrivait par le néologisme de "biopolitique" aujourd'hui "biogouvernance", dont je vous conseil vivement si ce n'est déjà fait la a posté le 27 octobre 2014 à 13h48On peut décrire à l'infini la personnalité des gens, ça n'a pas de sens. Ce qui est dommageable ce sont les faits, la personnalité de quelqu'un ne serait être vu comme un dommageable en elle même tant qu'elle ne conduit pas à des actes douteux. Dans cet article je ne relève aucun fait qui soit réellement grave. La position qui consiste à dire d'une personnalité qu'elle est "douteuse" à conduit les gens au bucher ou dans les camps autrefois... Celui qui agis mal doit être punis pour ce qu'il fait et non pour ce qu'il a posté le 27 octobre 2014 à 14h00Dans le DSM 5 la description du "trouble de la personnalité narcissique" est mise dans la section 3, c'est à dire que cette description est alternative à celle préconisée. Ce mouvement vers la section 3 implique qu'il sort du référentiel a posté le 27 octobre 2014 à 14h53 Jules Fradin, Je te réponds par mail d'autant qu'il y a déjà un moment que je souhaitais te faire part de docs sur Jonathan Haidt que j'avais stocké sur mon ordi et que je viens de retrouver récemment et que j'avais oublié de t'expédier dans mon dernier message. "Aussi la question n'est-elle pas de nier un phénomène, que je reconnais, mais de savoir en discerner les potentielles inévitables? récupérations. En l’occurrence ici, loin de nier la possibilité d'une névrose, l'objection tendait bien au contraire à la supposer chez celui qui s'en disait la victime." Effectivement, tel était le sens de ma question adressé à l'auteur en parlant de coquille dans le titre 7 mois Vs 7 ans... La question de fond que tu soulèves sur le risque de pathologisation à outrance est tout à fait pertinente dans le cadre de la théorie de la perversion narcissique. C'est un des problèmes à gérer pour faire connaître cette théorie très pertinente en soi si elle n'est pas dévoyée de son but premier. Or, dès lors que l'on parle de pervers narcissique de façon nosographique et donc classificatoire en lieu et place de perversion narcissique en tant que théorie des conflits, nous sommes déjà dans la transgression de la cette théorie. C'est à mon sens un écueil très difficile à franchir pas le temps de développer pour l'instant, je dois m'absenter.PUMPS a posté le 27 octobre 2014 à 19h05Moi aussi Jules je me" fend la gueule" ! Bon je vais aller voir sur internet si le fait de trop surfer sur internet relève d'une psychose ou d'une névrose !babetgarnier a posté le 27 octobre 2014 à 01h28Comme je vous comprends! Moi, j'ai tenu 4 ans, s'en remettre est extrêmement visiteur a posté le 26 octobre 2014 à 19h29Mon petit Vincent, si vous vous sentez un peu seul, sachez que je suis là. N'hésitez pas. Je suis très rigolote. Un vrai clown...PUMPS a posté le 26 octobre 2014 à 18h59Brrr... Cette furie est pire qu'Ebola !topinet a posté le 26 octobre 2014 à 16h23De Huynh Tran , "Surtout ne cherchez pas à en rencontrer d'autres ! Cherchez à vous rencontrer" J'aurai rajouter surtout à vous retrouver ...Bon sinon c'était un comm parfait . Quand à l'auteur de l'article , il est vraisemblable que vous ayez échappé à la mort . Tous mes voeux de bonheur pour la suite .LALIBELA a posté le 26 octobre 2014 à 15h45Et Zemmour vous dirait que tout est la faute du féminisme qui émascule la a posté le 27 octobre 2014 à 09h21Bon, voila Jules, regarde ça, c'est a posté le 27 octobre 2014 à 16h10y a du jubile oui Pierre, aussi le papier prendre de l'élan, zapper.. j'hésitehuynhtran a posté le 26 octobre 2014 à 12h51Surtout ne cherchez pas à en rencontrer d'autres ! Cherchez à vous rencontrer. Vous valez infiniment mieux que tout l'extérieur que vous dotez de qualités imaginaires. Votre meilleur ami est vous-même. Prêtez l'oreille attentive à ce que votre JE profond vous dit. Ecoutez ce que votre Sincérité profonde vous sussure à l'oreille. Il n'y a rien de tel que l'approbation de votre sincérité profonde. Son regard est la lumière pure, son verdict est d'une vérité pure. Rien ne vaut ce compagnon.
comment porter plainte contre un perver narcissique